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Éva a lu pour vous ..

Chroniques littéraires

Maman a tort

Michel Bussi

Presses de la Cité

7 mai 2015

512 pages

Thriller divers

Chronique

2 mars 2017

1er mars au soir : Petite aiguille sur le 11 grande aiguille sur le 4 : Comme dirait Malone le petit garçon héros de ce livre. Michel Bussi crée encore l'étonnement au dernier moment dans ce récit, cette fois contemporain pour moi, après avoir lu Gravé dans le sable et Les nymphéas noirs. La mémoire enfantine avant trois ans est au centre de l'histoire. L' amour maternel réel, fantasmé ou désiré également. On retrouve la qualité de l'écriture, et aussi le parfum de l'enfance, les doudous, les extraordinaires contes, mode d'emploi pour affronter la vie. Un beau livre, de beaux portraits de femmes. J'ai peut-être moins accroché qu'aux deux premiers titres déjà cités, mais je suis consciente que c'est certainement moi qui étais moins réceptive. Donc à lire pour ses qualités littéraires, les trouvailles de construction, et l'humanisme de l'auteur. Bonne lecture.

Quatrième de couverture

Rien n'est plus éphémère que la mémoire d'un enfant.
Quand Malone, du haut ses trois ans et demi, affirme que sa maman n'est pas sa vraie maman, même si cela semble impossible, Vasile, psychologue scolaire le croit.
Il est le seul... Il doit agir vite.
Découvrir la vérité cachée. Trouver de l'aide. Celle de la commandante Marianne Augresse par exemple. Car déjà les souvenirs de Malone s'effacent. Ils ne tiennent plus qu'à un fil, qu'à des bouts de souvenirs, qu'aux conversations qu'il entretient avec Gouti, sa peluche.
Le compte à rebours a commencé.
Avant que tout bascule. Que l'engrenage se déclenche. Quel les masques tombent.
Qui est Malone ?

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